Entrée en matière

Afin d’expliquer le but de ce blog, nous devons tout d’abord nous intéresser à la définition de la dystopie.
D’après le dictionnaire Larousse, la dystopie est une société imaginaire régie par un pouvoir totalitaire ou une idéologie néfaste, telle que la conçoit un auteur donné.

Il s’agit donc d’un univers opposé à l’utopie, comme elle est, par exemple, décrite dans Gargantua, sous la forme de l’Abbaye de Thélème. Régie par la maxime « Fais ce que tu voudras » elle semble offrir une vie parfaite .. Quand on ne la trouve pas opposée à l’idée même de vie monastique. Elle ne fait cependant pas moins partie des utopies littéraires les plus connues et est donc un exemple parfait.

A l’inverse, le premier exemple qui vient à l’esprit lorsque l’on cherche à décrire la dystopie, est bien évidemment notre cher Big Brother, dans 1984 de George Orwell. En effet, cette société où chacun est à chaque instant observé, ce contrôle absolu de la population, cette volonté de « cadenasser » la pensée, en fait un parfait exemple de dystopie.

Ce blog portera donc sur les différentes œuvres comportant une dystopie, que cela soit des livres, de la musique, des jeux ou autre, en vous laissant l’opportunité de découvrir, au delà du simple nom et de mon commentaire non-objectif et très bref, différents articles, vidéo, ou autre construits autour de l’œuvre choisie.

 

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Black mirror, ou la dystopie technologique

Black Mirror est une série britannique, qui s’est fait connaître récemment avec la sortie de sa troisième saison sur le géant Netflix, plateforme de streaming. En effet, si elle existe depuis 2011, ce n’est que depuis 2016 que cette série fait parler d’elle. Afin de comprendre l’univers de ce succès, vous pouvez regarder la bande-annonce présentée par Netflix.

Cette série est particulièrement intéressante car elle met en scène un monde dystopique sous le joug des nouvelles technologies et non pas d’une entité unique qui oppresse le peuple. Elle développe aussi sur la sur-information, qui à l’image de 1984 permet de contrôler (de façon totale ou non) les foules. Si vous n’êtes PAS tentés de suivre épisode par épisode cette série, mais que vous souhaitez en apprendre plus sur les différents thèmes abordés, Télérama vous offre un SPOILER plutôt fidèle de la série.
Plusieurs critiques intéressantes, notamment de contrepoint ou encore de l’Humanité peuvent vous éclairer quant à l’univers développé ici, et peut-être, avec un peu de chance, vous tenter d’entrer dans l’univers de Black Mirror.

Une analyse plus « approfondie » de la Sorbone, qui ouvre sur les points à retenir et l’intérêt sociologique de la série.

 

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Zdzisław Beksinski et la peinture dystopique

Lorsque l’on parle de dystopie, nous avons tendance à nous concentrer sur les œuvres littéraires ou cinématographiques, telles que celles présentées dans les articles précédents. Il existe cependant d’autres formes d’art s’y intéressant de près ou de loin que l’on peut explorer, et qui reflètent tout aussi bien l’idée de dystopie.

Dans cet article nous nous concentrerons sur Zdzislaw Beksinski, ce peintre à l’univers sombre, qui dans plus d’une de ses œuvres nous a présenté des paysages qui semblent en feu et des créatures difformes semblant sonner le glas de l’espèce humaine, exemple idéal de représentation de la dystopie. Une présentation de ses œuvres dystopiques et apocalyptiques réalisée par la chambre 237 vous permettra de découvrir rapidement cet univers.

 

 

Afin d’apprendre plus sur la vie de ce peintre et son évolution en tant qu’artiste, vous pouvez vous rendre sur le site de Comprendre la peinture.

 

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Reminder- Moderat

 « And while the rain keeps coming down
A rope of hope’s too thin to climb
The night is closing in
We’re down the bottom of the well »

Reminder a été le premier extrait présenté du dernier album, nommé III de Moderat, et est décrit comme possédant une « alchimie entre la techno martiale de Modeselektor et l’IDM nostalgique d’Apparat {qui} n’a jamais semblé aussi forte. »

Titre dont les paroles dépeigne de façon assez noire le monde qui nous entoure, le clip nous présente un jeune garçon évoluant dans un monde en noir et gris où il tente, sans succès, d’échapper à la société dirigée par de grands et gros monstres qui veulent lui imposer le port d’un masque qui le rendrai comme eux.

Le clip autant que les paroles nous présente donc un monde dystopique, où le mal règne et où « la corde de l’espoir est trop fine pour être escaladée ».
Vous pouvez ici trouver une interview du groupe Moderat par le Figaro, afin d’en apprendre plus sur eux, et sur comment ce dernier album s’est créé et ses particularités.

 

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Enslaved, odissey to the West

Vous pouvez trouver la fiche de ce jeu sorti en France en 2010 par jeuxvidéo.com.

Librement inspiré du livre La Pérégrination vers l’Ouest de Wu Cheng’en, Enslaved nous présente un monde post-Apocalyptique où, en se devant d’échapper aux robots qui les esclavagisent, les personnages traversent l’Amérique du Nord afin de ramener Trip chez elle. L’analyse de chronique ludique vous permettra de réaliser parfaitement l’ampleur de l’inspiration de ce livre sur ce jeu ici.
On retrouve dans ce jeu ce qui caractérise la plupart des récits dystopiques : un monde transformé, sous le joug d’une puissance qui cherche à contrôler le moindre être humain, et la volonté du personnage principal soit de détruire cette puissance ou tout du moins de lui échapper.

Afin de vous faire une idée de ce jeu vidéo, vous pouvez tout d’abord suivre Nyo, joueur possédant une chronique sur Youtube, qui vous y emmène tout du long  (afin de ne pas vous en spoiler l’entièreté, vous pouvez simplement le suivre dans l’épisode 1, qui pose le décor haut en graphisme post-apocalyptique).
Autrement, vous pouvez accéder à la critique du test du jeu de jeuxvideo.com, un peu longue mais qui résume assez bien l’univers dystopique de ce jeu vidéo.

 

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Hunger Games, la dystopie jeunesse qui fait un carton

G »Les Hunger Games ont commencé.
Le vainqueur deviendra riche et célèbre.
Les autres mourront… »

Trilogie contant l’histoire de Katniss, 16 ans, vivant à une époque lointaine sur les ruines des États-Unis. Pays totalitaire dirigé d’une main de fer sous un gant de velours par le Capitole, ce roman est une représentation parfaite de la dystopie, et avec son adaptation au cinéma (dont vous pouvez voir la bande annonce ici) a frappé les esprits des jeunes et des moins jeunes. Vous pourrez trouver un résumé de Léo, de Maze, ici.

Une critique très complète est présentée par France-info ne peut que vous donner envie de lire ou voir cette fiction dystopique de Suzanne Collins, dont le premier tome a été vendu à plus de 30 millions d’exemplaires.

 

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Matrix, 1999

Film des soeurs Wachowski, l’histoire de Matrix est devenue un phénomène mondial. Programmeur anonyme dans un service administratif le jour, Thomas Anderson devient Néo la nuit venue. Sous ce pseudonyme, il est l’un des pirates les plus recherchés du cyber-espace. A cheval entre deux mondes, Neo est assailli par d’étranges songes et des messages cryptés provenant d’un certain Morpheus. Celui-ci l’exhorte à aller au-delà des apparences et à trouver la réponse à la question qui hante constamment ses pensées : qu’est-ce que la Matrice ? Nul ne le sait, et aucun homme n’est encore parvenu à en percer les défenses. Mais Morpheus est persuadé que Néo est l’Élu, le libérateur mythique de l’humanité annoncé selon la prophétie. Ensemble, ils se lancent dans une lutte sans retour contre la Matrice et ses terribles agents…

Matrix, une dystopie ? Vous pouvez le comprendre en lisant la critique de Voir et Manger.

Vous pouvez découvrir la bande annonce de cette dystopie célèbre, ainsi que différentes critiques du site Allo Ciné afin, avec un peu de chance, de vous laisser tenter par ce que certains appellent « comme une mise au carré de tout ce qui s’est vu de mieux dans le cinéma américain dit « d’action » depuis une dizaine d’années » (Chronic’art, critique sur Allo Ciné).

 

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